Du 15 au 18 février derniers, ont eu lieu, à l’intention des partenaires algériens, les premières activités en ligne du projet.
En effet, après plusieurs mois d’interruption de ses missions sur le terrain, en raison de la pandémie, le projet SecTransNAS a dû s’adapter à la nouvelle donne à travers l’adoption de la modalité en ligne pour ses cours de formation et ateliers.
L’Algérie abritant le siège du Bureau régional NAS, on serait en droit de dire « à tout seigneur tout honneur » car le pays a été le premier où cette modalité a été mise en pratique.
Durant 4 jours, les experts européens ont animé et mis en œuvre diverses formations, notamment sur le transport d’échantillons biologiques et la réglementation ADR.
En plus des formations, divers ateliers ont eu lieu et au cours desquelles des propositions relatives, d’une part, à la législation nationale et, d’autre part, aux arrêtés /ordonnance destinés à réglementer la circulation des marchandises dangereuses ont été discutées.
Concernant le volet réglementaire, en attendant l’adhésion de l’Algérie à l’ADR à l’avenir, des propositions concrètes ont été faites pour aligner les textes algériens, déjà très avancés, il faut le dire, sur les exigences internationales en transport routier de matières dangereuses.
Aux dires des participants, ces journées, bien qu’ayant été intenses, c’est-à-dire, énormément d’informations en très peu de temps, ont été riches en contenus et utiles.
En définitive, une première expérience à distance réussie à tous points de vue.